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Les mélodies séfarades n’ont pas fini de résonner

L’Orchestre andalou d’Israël vient d’entamer sa saison au Centre culturel des arts vivants d’Ashdod, sa ville d’origine, avec un spectacle intitulé Ma Avarekh, reprenant le titre de la chanson qui a lancé Rivka Zohar il y a 40 ans. La chanteuse a illuminé la scène lors du programme d’ouverture, aux côtés de Liron Lev, son jeune comparse à la fois auteur, interprète et guitariste, Lior Elmaliach, interprète reconnu de chants liturgiques, et son double féminin de 17 ans, Shir Yifrach. Au piano, Orian Shukrun, également très présent.

 

La tournée, qui a débuté par trois concerts dans la ville côtière, se poursuivra à Beersheva, Kiryat Motzkin, Jérusalem et Tel-Aviv, pour finir le 8 décembre à Raanana. L’ensemble, qui enchaîne les tournées depuis de nombreuses années, a récolté bon nombre de lauriers. Lorsqu’il a vu le jour à Ashdod en 1994, ses membres n’avaient qu’un objectif :perpétuer le riche héritage musical du Maghreb – Maroc, Algérie, Tunisie et Libye - qui prend ses racines dans l’âge d’or des juifs d’Espagne, entre le IXe et le XIIIe siècle.

 

Nous parlons là d’une histoire vieille de 800 ou 900 ans, explique Jacob Ben Simon, le responsable de l’orchestre. Cette musique s’est transmise de génération en génération, et nous sommes un maillon de cette chaîne.

 

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L’Orchestre andalou d’Israël
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